Gaki limong: Bida antara revisi

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n’épouse que pour divorcer et rendre à son épouse fictive sa pleine liberté, des répondants bénévoles, véritables hommes de paille choisis pour chaque acte juridique ou financier, voilà pour la femme à qui le joug marital semble trop lourd encore d’ingénieux moyens de tourner la loi. Souveraine dans la maison où elle fut esclave, la femme aspire bientôt à prendre à la vie sociale, politique, une part plus grande. Jusqu’à présent, la religion seule leur était ouverte : vêtues de blanc, précédées
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n’épouse que pour divorcer et rendre à son épouse fictive sa pleine liberté, des répondants bénévoles, véritables hommes de paille choisis pour chaque acte juridique ou financier, voilà pour la femme à qui le joug marital semble trop lourd encore d’ingénieux moyens de tourner la loi.

Souveraine dans la maison où elle fut esclave, la femme aspire bientôt à prendre à la vie sociale, politique, une part plus grande. Jusqu’à présent, la religion seule leur était ouverte : vêtues de blanc, précédées de lecteurs, montant au premier rang dans toutes les cérémonies, les vestales étaient, suivant l’antique loi de Numa, vénérées comme l’image vivante du foyer romain.

Honneurs, somme toute, assez stériles ! Mais voici que, dans les légendes qui se forment, quelques figures féminines apparaissent. Clélie l’Amazone qui tailla en pièces les troupes du tyran étrusque, traversa tout armée et à cheval le Tibre, et dont une statue équestre, visible encore au temps de Plutarque, honora le courage ;… les Sabines qui s’interposèrent entre leurs pères et leurs maris pour amener la fusion des deux peuples, prélude de la grandeur de Rome ; Égérie, l’inspiratrice du sage Numa ; Valéria, Véturia et Volumnia, sœur, femme et mère du grand Coriolan qui, quand celui-ci, à la tête d’une armée volsque, assiégea son ingrate patrie, viennent, poussées par le souffle d’un dieu, au camp du rebelle, et dont les paroles pathétiques assurent à Rome la paix victorieuse que ses armes n’ont pu conquérir ; Fabia, épouse de Licinius Stolon, qui obtint, par ses larmes, l’accès des plébéiens au consulat : toutes celles-là, quittant leur rôle traditionnel

n’épouse que pour divorcer et rendre à son épouse fictive sa pleine liberté, des répondants bénévoles, véritables hommes de paille choisis pour chaque acte juridique ou financier, voilà pour la femme à qui le joug marital semble trop lourd encore d’ingénieux moyens de tourner la loi.

Souveraine dans la maison où elle fut esclave, la femme aspire bientôt à prendre à la vie sociale, politique, une part plus grande. Jusqu’à présent, la religion seule leur était ouverte : vêtues de blanc, précédées de lecteurs, montant au premier rang dans toutes les cérémonies, les vestales étaient, suivant l’antique loi de Numa, vénérées comme l’image vivante du foyer romain.

Honneurs, somme toute, assez stériles ! Mais voici que, dans les légendes qui se forment, quelques figures féminines apparaissent. Clélie l’Amazone qui tailla en pièces les troupes du tyran étrusque, traversa tout armée et à cheval le Tibre, et dont une statue équestre, visible encore au temps de Plutarque, honora le courage ;… les Sabines qui s’interposèrent entre leurs pères et leurs maris pour amener la fusion des deux peuples, prélude de la grandeur de Rome ; Égérie, l’inspiratrice du sage Numa ; Valéria, Véturia et Volumnia, sœur, femme et mère du grand Coriolan qui, quand celui-ci, à la tête d’une armée volsque, assiégea son ingrate patrie, viennent, poussées par le souffle d’un dieu, au camp du rebelle, et dont les paroles pathétiques assurent à Rome la paix victorieuse que ses armes n’ont pu conquérir ; Fabia, épouse de Licinius Stolon, qui obtint, par ses larmes, l’accès des plébéiens au consulat : toutes celles-là, quittant leur rôle traditionnel

[[Beureukaih:Kakilima street vendors in Jakarta.jpg|jmpl|300px|Geureubak meukat bak gaki limong rab peunoh rot di [[Jakarta]]]]
[[Beureukaih:Kakilima street vendors in Jakarta.jpg|jmpl|300px|Geureubak meukat bak gaki limong rab peunoh rot di [[Jakarta]]]]



Geunantoë barô bak 4 Buleuen Lapan 2020 05.59

Geureubak meukat bak gaki limong rab peunoh rot di Jakarta

Ureuëng meukat bak gaki limong atawa Pedagang Kaki Lima atawa nan paneukjih PKL nakeuh saboh narit istilah neukheun keu soë mantong nyang geu leuëng meuneukat atawa keurija la'èn keu mita pèng diateuëh binéh rot bak dijak ureuëng.

Narit gaki limong nyan na nyang kheun keu istilah ureuëng meukat peunajôh atawa peuë la'én mantong nyang geunguy geureubak keu keudèe gobnyan. Saweuëb istilah nyan keuh meuhat geukheun gaki limong, kayém geuteupeusé ngon jumeulah gaki nyang na limong boh. Limong boh gaki nyan nakeuh duwa gaki atra ureuëng po atra meutamah lom lhèe boh teuk keu "gaki" geureubak (ruda).

'Oh tapeugah teupeusé keunira gaki ngon ruda bak narit gaki limong sang-sang nyan nakeuh haba teupeuna-peuna. Saweuëb ramè cit nyang meukat bak rot nyan nyang hana geunguy geureubak atawa peukakaih meugaki la'én, lagèe ureuëng meukat ubat miseuëjih nyang 'oh geumeukat meumada ngon geuleuëng tika mantong atawa cit lagèe ureuëng meukat cindôy nyang geugulam guci cindôi u peukan keu pat keubah meuneukat.

Seubeutôijih nyang geukheun gaki limong nyan nakeuh saboh neuatô nyang jinguy lé awak Beulanda jameun kolonial. Neuatô nibak peumeurèntah Beulanda masa nyan nakeuh bak tiëp-tiëp rot nyang jinguy lé ureuëng beu na meuseudia luwah limong gaki keu ureuëng nyang jak ngon tapak.